La poignée de paroissiens qui a vécu la première soirée-rencontre avec des paroissiens-écrivains ce mardi 19 septembre, a eu la chance de vivre un grand moment d’échange poético-philosophique, de communion paroissiale intense et de grande richesse en allant écouter Jean Mossoux, coach en entreprise, en particulier pour des starts-up, et petit-cousin par sa maman, de Jacques Brel. Subjugé par la force des paroles des chansons du grand Jacques, il reçoit de façon inattendue la proposition de Jacques … Borlée, coach bien connu de nos athlètes de tout haut niveau, de co-écrire le livre «Brel Etincel’» qu’il élabore à partir de dix chansons inspirantes du poète pour «entreprendre ses rêves» (et dont bien entendu la couverture est drapée de rouge et de noir) ; car, oui, ce dernier aussi s’inspire des textes des chansons de Brel, «qui font exister», pour en retirer toute l’énergie positive, convertissant certaines d’entre elles en «huit paradis pour ses équipes (et pour nous) : entraîner la joie, exprimer de la reconnaissance, développer la curiosité», etc.
Jean nous a emmenés avec émerveillement (référence à un texte récent de Frère Benjamin, et réalité vécue ce soir-là) dans l’univers de Brel, avec comme fil rouge le fait que «les mots justes donnent vie», ce qu’il illustra en parcourant les chansons choisies, et que Frère Benjamin et lui prolongèrent par rapport au «Verbe de vie» qu’est la Bible.
Jean avait aussi eu l’excellente idée d’inviter un navigateur, parti pendant six mois en mer avec son fils, et qui nous livra une méditation poétique et symbolique sur la beauté de l’immensité du flux qui crée une sensation d’éternel, et sur les réajustements qu’entraînent la fluctuation des éléments nécessitant des réorientations de la voile par exemple, tout comme dans la vie … Véritable émerveillement là aussi : les participants avaient et ont encore toujours des étoiles plein les yeux (et les oreilles).
La soirée se termina par un vibrant karaoké de «Quand on n’a que l’amour», chanté à l’unisson avec l’auteur de la chanson.
Thierry